Durant deux à trois ans, l’entreprise Chéritel Trégor Légumes, un important grossiste breton implanté à Grâces (Côtes-d’Armor), a vendu à la centrale d’achat du hard discounter Aldi des produits à l’origine frauduleuse.
Les tomates « françaises » étaient en réalité importées du Maroc, d’Espagne ou des Pays-Bas.
Déjà épinglé à deux reprises en 2017 par les services de la répression des fraudes, le gérant de l’entreprise, Jean Chéritel, comparaissait ce jeudi devant le tribunal de grande instance de Saint-Brieuc.
-le parisien